Je suis a Arequipa. Nous sommes le 21 juillet 2008. Il est 18h. Mon autobus pour Cuzco part dans 2h30min.
Je marche avec Miruna dans un marcher en attendant notre autobus. Le marcher est bien remplis. Des enfants cours partout. Il commence a faire un peu sombre. On arrive au coin de la rue, je sens comme une brosse me passer au coup, j'y met la main, c'est comme du crachat, je sent quelqu'un qui m'acroche l'epaule, je mets ma main a la poche, plus de portefeuille....
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AHHHHHHHHHHHHHHHHH Je geule comme un malade. Miruna voit quelqu'un qui semble avoir donner quelque chose a quelqu'un d'autre. Les gens m'entoure. Un homme me dit qu'il a vu un enfant, e t il est dans le magasin, je le supplie d'aller le chercher, il se pousse, je suis en criss... Miruna revient avec l'homme, on appel un policier de l'autre cote de la rue, Miruna raconte l'histoire, j'essaie de trouver ñle petit gars. 15 personnes m'entourent et me pose des questions et on part vers le poste de police avec le vieil homme que Miruna a attraper...
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Je suis dans le poste de police. On donne notre deposition devant un calendrier qui semble vendre des soulier mais, qui a une fille a poil en plein millieu (?). Juste en haut il y a un genre de crucifix decorer...
Le vieil homme´jure qu'il n'a rien fait. Il part faire un telephone avec un autre policier.
Le policier me demande mon salaire. Il en croit pas ses oreilles. Je fais a 22 ans 7 fois son salaire. J'essaie de lui expliquer qu'avec ce salaire je vis sous le seuil de la pauvrete. Il demande a moi et Miruna la facon dont on communique etant donner qu'on vient de 2 pays different. Une belle jasette! (Je me balance sur ma chaise et je me demande pourquoi qu'il court pas les rues pour trouver le portefeuille.
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Mon bus part dans 1h. Mon billet est dans le portefeuille.
Comme je n'esperais plus rien, monsieur le comissaire de police arrive avec mon portefeuille. Il me manque l'equivalent de 50$. Je m'en fous royalement. Je crois meme que c'est les policiers qui l'ont pris. Apparement, c'etait 9enfants avec le vieil homme qui on fait le coup. J'ai aucune idee comment ils ont retouver le tout mais, des que j'ai dis les mots touristes et canadiens, ils m'ont pris au serieu.
On a donc couru, attraper le bus et j'ai cracher sur le sol avant de rentrer dans le bus. (Une sorte de veangeance j'imagine). Et j'ai quitter Arequipa en remerciant mon etoile qui me protege a chaque fois que je voyage. Maudit que je suis chanceux!
Wednesday, July 23, 2008
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